Le conte, un jour, m’a traversée comme un vent lointain.
Je n’ai de cesse de sentir sous mes semelles crisser le sable de ses chemins, toujours plus loin. De m’imprégner du parfum de ses pas.
Je suis devenue « passeuse de mots » pour mieux les colorer et leur transmettre ce souffle de parfum de la Vie. Ma bouche, devenue fertile, offre en moisson ce que ces « vents » y ont semé…
Que l’écho « éveilleur » de ces contes résonne, qu’il puisse trouver un chemin d’enracinement dans la terre de chacun.
Le conte, un jour, m’a traversée comme un vent lointain.
Je n’ai de cesse de sentir sous mes semelles crisser le sable de ses chemins, toujours plus loin. De m’imprégner du parfum de ses pas.
Je suis devenue « passeuse de mots » pour mieux les colorer et leur transmettre ce souffle de parfum de la Vie. Ma bouche, devenue fertile, offre en moisson ce que ces « vents » y ont semé…
Que l’écho « éveilleur » de ces contes résonne, qu’il puisse trouver un chemin d’enracinement dans la terre de chacun.